La fin du financement du CEVA restera-t-il opposé à la levé du blocage pour la construction du «shunt » d’Etrembières, une opposition depuis 2005 par les communes d’Etrembières et la Communauté d’Agglo "Annemasse Agglo". Une situation féodalisme qui pénalise la vallée de l’Arve (270 000 habitants) + les 400 000 touristes de plus par saison qui fréquentent les stations touristiques ,comme l’économie de la vallée à ne pas posséder à des transports ferroviaires directs avec le réseau national.
Le «shunt » ferroviaire d’Etrembières bien que déjà inscrit dans un plan Etat Région depuis plusieurs décennies.
Selon nos études ceci engendrerait un gain de temps de 38 minutes par trajet en double voies entre St Gervais et Bellegarde pour regagner Paris et Lyon.
La vallée frappée par le PPA (plan de protection atmosphère), un projet que nous relançons et regardons très passionnément à l’heure de trouver des solutions durables.
Si le président de Pro CEVA s’inquiète du financement (article ci-joint) le A pose le problème du blocage du réseau ferré de la Hte Savoie du Nord. Rêver de faire passer tous les trafics voyageurs par Annemasse et la suisse seraient une utopie d’incompétence. La liaison Ceva intéresse seulement Genève et Annemasse dans un réseau urbain. Nous avons toujours prétendu pour réaliser de l’inter urbain qu’il serait d’envisager d’autres offres d’investissements plus rationnels et radicaux pour intéresser les gens à effectuer le transfert de la voiture aux rails vers le Canton de Genève.
Pour ce qui est du réseau ferré RFF les temps de déplacements actuels sont déjà plus concurrentiels entre Bellegarde, St Julien en Genevois, Annemasse en 37 minutes, que d’envisager une simulation par le CEVA (58’) sans les prises en comptes à nombreuses ruptures de charge.